Cours d'Anglais à Mâcon
En dehors de l’école, Laurence BELLANO - PERRIN fréquente des enfants venus de toute l’Europe et continue de pratiquer l’anglais couramment qui devient sa LANGUE MATERNELLE.
L’originalité de Laurence réside dans le fait qu’elle a développé des qualités exceptionnelles d’écoute et de compréhension de l’anglais quel que soit l’accent employé par son interlocuteur. Ses compétences en anglais sont si remarquables qu’elle parvient à converser aussi bien avec un Professeur d’université, qu’avec un commerçant ou bien avec un barman, des amis, dans le brouhaha d’un pub. Qu’il s’agisse donc de comprendre et de parler avec une syntaxe académique ou de discuter avec le tout-venant, dans la rue, à l’hôtel, au restaurant, etc, avec des tournures de phrases plus familières, typiquement britanniques ou américaines, Laurence affiche la même tranquillité et la même étonnante pertinence. Sa pratique de la langue anglaise est devenue un peu plus raffinée dès qu’elle a rejoint l’Irlande pour y travailler dans le Tourisme pendant plus de deux ans et les Etats-Unis (Floride) pendant un an et demi, où elle exerce dans l’humanitaire.
Enfin, aujourd’hui, outre la direction et l’animation de son CENTRE D’APPRENTISSAGE DE L’ANGLAIS à Mâcon (Bourgogne) - 12 Bd. Rocca, elle exerce aussi une activité d’interprète à Londres, dans le cadre des conférences, séminaires et cours donnés par son mari (Directeur de Recherches et Universitaire), à l’université. Elle traduit aussi ses articles qui paraissent dans des revues scientifiques internationales. Elle travaille actuellement à la traduction en anglais d’un ouvrage de 200 pages « Ces enfants qui n’apprennent pas » - Denis BELLANO. Ed. Le centurion. Coll. Païdos. Paris. 1989, pour un éditeur britannique à Londres. Elle traduit aussi pour des maisons d’édition des textes destinés à l’apprentissage de la musique, à la pratique d’un instrument, etc. (Editons Robert Martin - Mâcon - 2017 - 2018).
Méthode d'apprentissage
Sa méthode d’enseignement s’inspire complètement de son expérience de l’apprentissage de l’anglais. Laurence BELLANO - PERRIN, parle l’anglais, pense en anglais, compose ses textes en anglais, écoute la radio, suit les programmes télévisés et les films, en langue anglaise, de façon naturelle. Elle ne traduit jamais une phrase en amont. Sa compréhension est instantanée dans les deux langues. Elle ne construit jamais ses phrases avant de les exprimer. Tout cela s’effectue en concomitance.
Avec Laurence, apprendre à parler l’anglais, c’est avant tout oublier les méthodes utilisées à l’école ou dans les instituts de langue anglaise, où on prétend apprendre à parler l’anglais en continuant de s’exprimer, la plupart du temps, en français. Apprendre une langue ne se fait surtout pas en traduisant en amont une phrase, d’abord pensée en français. Au contraire il s’agit de développer les processus méta cognitifs qui consistent à penser avant tout en anglais avec des expressions idiomatiques (typiques) qui font entrer de plein pied dans l’esprit de la langue anglaise. Autrement dit, une langue ne se résume pas à une suite de mots qui véhiculent un sens. C’est surtout et avant tout, l’émergence d’une culture, d’une manière d’être et de penser. La syntaxe, c’est-à-dire, la tournure des phrases, exprime justement ces spécificités. Ce qui est typique à la manière d’être un anglais est donc représenté, par la manière de parler la langue anglaise.
On ne peut pas apprendre et connaître une nouvelle langue, en laissant prédominer sa langue d’origine.
Contrairement à ce qui est prétendu par certaines écoles de langue, un ressortissant anglais n’est pas le plus apte à apprendre à parler sa propre langue à un ressortissant de langue étrangère. En effet, il n’est pas forcément conscient des spécificités de sa langue car il n’a pas été contraint de les identifier sur le terrain de l’expérience.
AU CENTRE D’APPRENTISSAGE DE L’ANGLAIS de Mâcon, l’apprenant n’est pas un élève et le formateur n’est pas un enseignant. Tous deux vont élaborer des modalités de compréhension réciproques, basées sur des connaissances linguistiques en constructions permanentes et en interaction. C’est donc la méthode empirique qui prédomine, c’est-à-dire l’expérience du parler. On parlera une nécessité (réserver une chambre d’hôtel, choisir son repas au restaurant, demander son chemin, etc), un récit (raconter un événement), une idée (échanger des opinions dans un groupe), une technique (exposer des compétences professionnelles, présenter un produit, une méthode, à des fins commerciales), etc. On ne parle donc jamais, simplement pour parler. On le fait toujours dans un but.
C’est d’abord cela qui est identifié par Laurence, dans chacune des demandes qui lui est faite.
Avec Laurence, apprendre à parler l’anglais, c’est avant tout oublier les méthodes utilisées à l’école ou dans les instituts de langue anglaise, où on prétend apprendre à parler l’anglais en continuant de s’exprimer, la plupart du temps, en français. Apprendre une langue ne se fait surtout pas en traduisant en amont une phrase, d’abord pensée en français. Au contraire il s’agit de développer les processus méta cognitifs qui consistent à penser avant tout en anglais avec des expressions idiomatiques (typiques) qui font entrer de plein pied dans l’esprit de la langue anglaise. Autrement dit, une langue ne se résume pas à une suite de mots qui véhiculent un sens. C’est surtout et avant tout, l’émergence d’une culture, d’une manière d’être et de penser. La syntaxe, c’est-à-dire, la tournure des phrases, exprime justement ces spécificités. Ce qui est typique à la manière d’être un anglais est donc représenté, par la manière de parler la langue anglaise.
On ne peut pas apprendre et connaître une nouvelle langue, en laissant prédominer sa langue d’origine.
Contrairement à ce qui est prétendu par certaines écoles de langue, un ressortissant anglais n’est pas le plus apte à apprendre à parler sa propre langue à un ressortissant de langue étrangère. En effet, il n’est pas forcément conscient des spécificités de sa langue car il n’a pas été contraint de les identifier sur le terrain de l’expérience.
AU CENTRE D’APPRENTISSAGE DE L’ANGLAIS de Mâcon, l’apprenant n’est pas un élève et le formateur n’est pas un enseignant. Tous deux vont élaborer des modalités de compréhension réciproques, basées sur des connaissances linguistiques en constructions permanentes et en interaction. C’est donc la méthode empirique qui prédomine, c’est-à-dire l’expérience du parler. On parlera une nécessité (réserver une chambre d’hôtel, choisir son repas au restaurant, demander son chemin, etc), un récit (raconter un événement), une idée (échanger des opinions dans un groupe), une technique (exposer des compétences professionnelles, présenter un produit, une méthode, à des fins commerciales), etc. On ne parle donc jamais, simplement pour parler. On le fait toujours dans un but.
C’est d’abord cela qui est identifié par Laurence, dans chacune des demandes qui lui est faite.
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